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A se changer en roi,
A hurler à la lune,
A traquer la fortune,
Tout ça pour trainer son poids
[Noir Désir, Comme elle vient <= Les Fatals Picards, Noir(s)]

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Pirates des Caraïbes, 4: La fontaine de jouvence


Ca faisait bien longtemps que j'avais pas eu l'occasion de retourner au petit ciné de campagne que j'aime bien, pas loin de chez mes parents, mais pour une fois il y avait une séance à laquelle je pouvais aller samedi dernier, pour un des films qui me font aller au ciné sans réfléchir: le 4° volet de Pirates des Caraïbes.



La Fontaine de Jouvence, titre français qui s'éloigne du "On stranger tides" original, véritable reconnaissance de l'influence du livre de Tim Powers ("Sur des mers plus ignorées" en français) sur l'univers des films Pirates des Caraïbes.

Pour autant, il ne faut pas s'attendre à ce que ce 4° film soit particulièrement fidèle au livre de Tim Powers: à part certains détails anecdotiques (la poupée vaudou, vaguement la fontaine elle-même, et de loin), l'influence se retrouve encore une fois essentiellement dans l'univers de la piraterie.

Moi ça me convient très bien: si j'affectionne cette série de films c'est justement pour cet univers, cette ambiance, l'utilisation des réels pirates historiques et/ou légendaires (Le Hollandais Volant, Barbe Noire...), bien évidemment le personnage du capitaine Jack Sparrow, et rien d'autre.
Tant pis pour ceux qui y trouvent à redire

Donc donc donc: cette fois nous mettons le cap pour de bon sur la fontaine de jouvence, vieux rêve du cap'tain Sparrow.



Dès le début on retrouve le Sparrow qu'on aime, capitaine sans navire ni équipage, roublard et manipulateur opportuniste, dandy à sa façon mais guère gentleman, toujours plein de ressources et d'un charisme désinvolte.

Après avoir filouté un brin au procès accusant le second Guibbs (auquel on apprend à s'attacher pendant ce film) à sa place ("Vous êtes coupable de ne pas être coupable d'être Jack Sparrow" ^^), ça ne tourne pas comme prévu et il nous offre ce qu'il sait faire de mieux: une improvisation, et plus particulièrement une impro d'escapade rocambolesque





Avec juste un bref intermède pour se faire traîner devant le roi ^^





Il fait aussi des retrouvailles inattendues avec Angelica, une ancienne moniale espagnole qu'il avait sorti de son couvent ("j'étais persuadé que c'était une maison close") et qui est devenue une aventurière de son acabit, allant jusqu'à devenir le second estimé de Barbe Noire, le pirate le plus redouté...

 


 


Pénélope Cruz tient bien le rôle, et j'aime bien la relation entre ces deux-là, même si ça devrait faire hurler la fangirl qui est en moi 

 



Il y a aussi les sirènes, autre classique de la piraterie, très bien rendu ici, pour finir sur une bataille épique

     

...qui leur permettra de capturer une prisonnière pour receuillir ses larmes lors du rituel païen nécessaire à la fontaine de jouvence.

C'est là que le missionnaire au coeur pur également capturé bien avant s'en émeut et que se noue une belle rencontre, entre le puritain convaincu et la belle créature humiliée.


    

  

Pendant ce temps-là, Barbossa et Jack crapahutent de concert comme de joyeux lurons en souvenir du bon vieux temps et de l'époque du Black Pearl.

  

Bien sûr tout ce petit monde finit par accéder à la fontaine de jouvence, où tout se déchaîne pour le plus grand malheur de ce haut lieu du patrimoine païen ^^

 


"Attendez! Pourquoi on se battrait? Vous êtes de son côté à lui et vous de son côté à lui. Ca se passe juste entre eux deux, pourquoi on ne se contenterait pas de les regarder faire en buvant un verre?"

Héhé, mais ça c'est sans compter le goût des pirates pour la bagarre - ça m'a beaucoup fait penser aux Feegles pratchettiens, ça ^^

Et enfin, on a un nouvel espoir pour le Black Pearl



...et ma foi ça peut augurer encore un bon nouveau film des Pirates, de mon côté le rendez-vous est pris. 






 

Viewed*List - Films

Petite légende:
: vu sur grand écran
: lien vers l'article où j'en parle 

 

FILMS 

- A la Croisée des Mondes, 1: la Boussole d'Or (Weitz, Chris)
- Alice au pays des merveilles (Burton, Tim)

- Astérix et Obélix: Mission Cléopâtre (Chabat, Alain)

- Astérix et Obélix contre César (Zidi, Claude)

- Attention danger travail (Carles, Pierre & Coello, Christophe & Goxe, Stéphane)

- Au revoir les enfants (Malle, Louis)
- Avatar (Cameron, James)
3D
- les Aventures extraordinaires d'Adèle Blanc-Sec (Besson, Luc)
-
Bean (Smith, Mel)
-
les vacances de Mr Bean (Bendelack, Steve)
-
la Belle et la Bête (Trousdale, Gary & Wise, Kirk)
- Bienvenue chez les Ch'tits (Boon, Dany)

- Brice de Nice (Huth, James)

- Bruce tout-puissant (Shadyac, Tom)

- Le bruit des glaçons (Bertrand Blier)

- Camping (Onteniente, Fabien)

- Camping car (Sonnenfeld, Barry)

-
Cartouche (de Broca, Philippe)
-
Chacun cherche son chat (Klapish, Cédric)
- Charlie et la Chocolaterie (Stuart, Mel)
-
Charlie et la Chocolaterie (Burton, Tim)
-
Chat noir, chat blanc (Kusturica, Emir)
-
le Château de ma mère (Robert, Yves)
- le Chien des Baskerville (Fisher, Terence)
- Chouchou (Allouache, Merzak)

- les Chroniques de Spiderwick (Waters, Mark)

- Cinéman (Moix, Yann)

- la Cité de la peur (Berbérian, Alain)
- le Coeur des hommes (Esposito, Marc)

-
le Coeur des hommes 2 (Esposito, Marc)

- Crachez vos souhaits: Louise Attaque, le film (Villeneuve, Thierry)

- Da Vinci Code (Howard, Ron)

- Deux jours à tuer (Becker, Jean)

- Didier (Chabat, Alain)
- Les Dieux sont tombés sur la tête (Uys, Jamie)
- Les Dieux sont encore tombés sur la tête (Uys, Jamie)
- Double zéro (Pirès, Gérard)
- Dune (Lynch, David)
- Elephant (Van Sant, Gus)
-
Elephant Man (Lynch, David)
-
l'Enfant Lion (Grandperret, Patrick)

- Enfermés dehors (Dupontel, Albert)

- Ensemble, c'est tout (Berri, Claude)
- les valeurs de la Famille Adams (Sonenfeld, Barry)

- Fauteuils d'orchestre (Thompson, Danièle)
 
- la Folie des grandeurs (Oury, Gérard)
- la Folle histoire de l'espace (Brooks, Mel)

- les Frères Grimm (Gilliam, Terry)

- la Garçonnière (Wilder, Billy)
- Garfield: le film (Hewitt, Peter)
-
Garfield 2 (Hill, Tim)
- Garfield gets real (Dippe, Mark)
-
la Gloire de mon père (Robert, Yves)
- la Guerre du feu (Annaud, Jean-Jacques)
-
la Guerre des boutons (Robert, Yves)
- la Guerre des miss (Leconte, Patrice)
- Harry Potter [1] à l'Ecole des sorciers (Colombus, Chris)
- Harry Potter [2] et la Chambre des secrets (Colombus, Chris)
-
Harry Potter [3] et le Prisonnier d'Azkaban (Cuaron, Alfonso)

- Harry Potter [4] et la Coupe de feu (Newell, Mike)

- Harry Potter [5] et l'Ordre du Phénix (Yates, David)

- Harry Potter [6] et le Prince de Sang-mêlé (Yates, David) vost
- Harry Potter [7] et les Reliques de la Mort - partie 1 (Yates, David) vost
- l'Homme qui murmurait à l'oreille des chevaux (Redford, Robert)
- Hors de prix (Salvadori, Pierre)

- Huit femmes (Ozon, François)
- Il ne faut jurer de rien ! (Civanyan, Eric)

- l'Île aux trésors (Barberian, Alain)

- l'Illusionniste (Sylvain Chomet)

- l'Imaginarium du Docteur Parnassus (Gilliam, Terry)
- Imogène McCarthery (Charlot, Alexandre & Magnier, Franck)
  
- Inception (Nolan, Christopher)
- Jeanne d'Arc (Besson, Luc)
-
la Jeune fille à la perle (Webber, Peter)
vost
- Joyeux Noël (Caron, Christian)

- Jurassic Park: le Monde perdu (Spielberg, Steven)
- Kingdom of Heaven (Scott, Ridley)

- le Labyrinthe de Pan (Del Toro, Guillermo)

- Là-haut (Docter, Pete & Peterson, Bob)

- Laisse tes mains sur mes hanches (Lauby, Chantal)
-
les Liaisons dangereuses (Frears, Stephen)
- Little Miss Sunshine (Dayton, Jonathan & Faris, Valerie)

- Lovely bones (Jackson, Peter)

- Madagascar (Darnell, Eric & McGrath, Tom)

- Madame Irma (Bourdon, Didier & Fajnberg, Yves)

- Mais qui a tué Pamela Rose? (Lartigau, Eric)

- la Maison du bonheur (Boon, Dany)

- Mammuth (Kervern, Gustave & Delépine, Benoît)

- Marie-Antoinette (Coppola, Sofia)
- les Meilleurs amis du monde (Rambaldi, Julien)

- Micmacs à tire-larigot (Jeunet, Jean-Pierre)
- Mon meilleur ami (Leconte, Patrice)

- Monsieur Schmidt (Payne, Alexander)
 
- Monthy Python: Sacré Graal (Gilliam, Terry & Jones, Terry)
- le monde de Narnia, chapitre I: Le lion, la sorcière blanche et l'armoire magique (Adamson, Andrew)

- le monde de Narnia, chapitre II: Le prince Caspian (Adamson, Andrew)
- le monde de Narnia, [3]: L'Odyssée du Passeur d'Aurore (Apted, Michael)
- Ne le dis à personne (Canet, Guillaume)
- les Noces funèbres (Burton, Tim)

- le Noël de Mickey (Mickey's Christmas Carol) (Burny Mattinson)

- la Nuit au musée (Levy, Shawn)
-
Odette Toulemonde (Schmitt, Eric-Emmanuel)

- On connaît la chanson (Resnais, Alain)
-
Palais royal ! (Lemercier, Valérie)

- Papa (Barthélémy, Maurice)

- le Parfum: histoire d'un meurtrier (Tykwer, Tom)
-
Pars vite et reviens tard (Wargnier, Régis)

- le Père Noël est une ordure (Poiré, Jean-Marie)
- le Pianiste (Roman Polanski)

- Pirates des Caraïbes, 1: la Malédiction du Black Pearl (Verbinsky, Gore)  
- Pirates des Caraïbes, 2: le Secret du coffre maudit (Verbinsky, Gore)
- Pirates des Caraïbes, 3: Jusqu'au Bout du Monde (Verbinsky, Gore)  
- Pirates des Caraïbes, 3: Jusqu'au Bout du Monde (Marshall, Rob)
- le Placard (Veber, Francis)
-
les Poupées russes (Klapish, Cédric)

- la Première étoile (Jean-Baptiste, Lucien)

-
Prête-moi ta main (Lartigau, Eric)

- Pretty Woman (Marshall, Gary)
-
la Prophétie des grenouilles (Girerd, Jacques-Rémy)

- Qui veut la peau de Roger Rabbit? (Zemeckis, Robert)
-
les aventures de Rabbi Jacob (Oury, Gérard)
- Ratatouille (Bird, Brad)

- Roger et moi (Michael Moore)
- le Roi et l'oiseau (Grimault, Paul)

- les Rois mages (Bourdon, Didier & Campan, Bernard)
- Rox & Rouky (Rich, Richard)
- RRRrrrr !!! (Chabat, Alain)

- Safari (Baroux, Olivier)

- la Science des rêves (Gondry, Michel)
- le Seigneur des Anneaux, 1: La communauté de l'Anneau (Jackson, Peter)

- le Seigneur des Anneaux, 2: Les deux tours (Jackson, Peter)
- le Seigneur des Anneaux, 3: Le retour du roi (Jackson, Peter)
- Seuls two (Judor, Eric & Bedia, Ramzy)
- Shakespeare in love (Madden, John)
-
Sherlock Holmes (Ritchie, Guy)
 
- Shrek (Adamson, Andrew & Jenson, Vicky)
- Shrek 2 (Adamson, Andrew & Asbury, Kelly & Vernon, Conrad)

- Shrek le troisième (Miller, Chris III & Hui, Raman & Miller, Chris)
- Shrek 4 Il était une fin (Mitchell, Mike)
- les Simpsons: le film (Silverman, David)
- Sleepy hollow, la légende du cavalier sans tête (Burton, Tim)
- Star Wars, épisode IV: la Guerre des étoiles (Un nouvel espoir) (Lucas, George)
- Star Wars, épisode V: l'Empire contre-attaque (Lucas, George)
- Star Wars, épisode VI: le Retour du Jedi (Lucas, George)
- Star Wars, épisode I: la Menace fantôme (Lucas, George)
- Star Wars, épisode II: l'Attaque des clones (Lucas, George)
- Star Wars, épisode III: la Revanche du Sith (Lucas, George)

- Sur mes lèvres (Audiard, Jacques)
- Sweeney Todd, the demon barber of Fleet Street (Burton, Tim)

- Swimming pool (Ozon, François)
-
la Tête en friche (Becker, Jean)

- Tigre et dragon (Lee, Ang)

- Titanic (Cameron, James)
- la Tour Montparnasse Infernale (Nemes, Charles)
- Toy Story (Lasseter, John)
- Train de vie (Mihaileanu, Radu)
- les Triplettes de Belleville (Chomet, Sylvain)

- les Trois frères (Bourdon, Didier & Campan, Bernard)
- Underground (Kusturica, Emir)
- la Véritable histoire du Chat Botté (Deschamps, Jérôme & Hérold, Pascal)

- la Vie comme elle va (Meunier, Jean-Henri)
- les Visiteurs: ils ne sont pas nés d'hier! (Poiré, Jean-Marie)
- Wall-e (Stanton, Andrew)

- Wallace & Gromit: le Mystère du lapin-garou (Park, Nick & Box, Steve)

- 1492: Christophe Colomb (Scott, Ridley)
-
99 francs (Kounen, Jan)

 

TELEFILMS

- [Discworld] Hogfather (Vadim Jean)
- [Discworld] The Colour of Magic (Vadim Jean)
- [Discworld] Going Postal (Jon Jones)
- l'histoire de Mr Bean (Edwards, Rupert)

 

CINE-CONFERENCES (Connaissance du Monde)

- Ecosse: Secrets et traditions (Luc Giard)
- Irlande: Un grand bol d'Eire (Jean-Louis Mathon)

- Egypte: Magie des couleurs (Maximilien Dauber)

- Mon regard sur le monde: Vu du ciel (Sylvain Augier)

 

 

Viewed*List - Series

- C'est encore à compléter, je me concentre sur ce que j'ai en cours -

 

Petite légende:

 : je n'ai vu que quelques épisodes (et ne saurais trop dire précisément lesquels)
: lien vers l'article où j'en parle 

 

  • The Cosby Show (1984)

  • Daria (1997)

  • Doctor Horrible's sing-Along Blog (2008)

  • Doctor Who,  New Series, Saison 1 (2005, Christopher Eccleston, 9th Dr) - 101 Rose, 102 The End of the World, 103 The Unquiet Dead, 104 Aliens of London / 105 World War Three , 106 Dalek, 107 The Long Game, 108 Father's Day, 109 The Empty Child / 110 The Doctor Dances, 111 Boom Town , 112 Bad Wolf / 113 The Parting of the Ways , 2000 Children In Need, 2001 The Christmas Invasion , Attack of the Graske
  • Doctor Who,  New Series, Saison 2 (2006, David Tennant, 10th Dr) - 201 New Earth , 202 Tooth and Claw , 203 School Reunion , 204 The Girl in the Fireplace , 205 The Rise of Cybermen / 206 The Age of Steel , 207 The Idiot's Lantern , 208 The Impossible Planet / 209 The Satan Pit , 210 Love and Monsters , 211 Fear Her , 212 Army of Ghosts / 213 Doomsday , 3000 The Runaway Bride
  • [Dr Who spin-off] Torchwood, Saison 1 (2006-2007 ) - 101 Everything changes , 102 Day one , 103 Ghost machine , 104 Cyberwoman , 105 Small worlds , 106 Countrycide , 107 Greeks bearing gifts, 108 The keep killing Suzie , 109 Random shoes , 110 Out of time, 111 Combat, 112 Captain Jack Harkness , 113 End of Days
  • Doctor Who,  New Series, Saison 3 (2007, David Tennant, 10th Dr) - 301 Smith and Jones , 302 The Shakespeare Code , 303 Gridlock , 304 Daleks in Manhattan / 305 Evolution of the Daleks , 306 The Lazarus Experiment , 307 "42" , 308 Human Nature / 309 The Family of Blood , 310 Blink , 311 Utopia / 312 The Sound of Drums / 313 Last of the Time Lords , 4000 Time Crash , 4001 Voyage of the damned
  • Doctor Who,  New Series, Saison 4 (2008, David Tennant, 10th Dr) - 401 Partners in Crime , 402 The Fires of Pompeii , 403 Planet of the Ood , 404 The Sontaran Stratagem / 405 The Poison Sky , 406 The Doctor's Daughter , 407 The Unicorn and the Wasp , 408 Silence in the Library / 409 Forest of the Dead , 410 Midnight , 411 Turn Left , 412 The Stolen Earth / 413 Journey's End , Doctor Who at the Proms 2008: Music of the Spheres , The Next Doctor  
  • Doctor Who,  New Series, Specials Episodes (2009, David Tennant, 10th Dr) - Planet of the Dead , The Waters of Mars , The End of Time
  • Doctor Who,  New Series, Saison 5 (2010, Matt Smith, 11th Dr) - 501 The Eleventh Hour , 502 The Beast Below , 503 Victory of the Daleks , 504 The Time of Angels / 505 Flesh and Stone , 506 Vampires of Venice , 507 Amy's Choice , 508 The Hungry Earth / 509 Cold Blood , 510 Vincent and the Doctor ,512-513 The Pandorica Opens / The Big Bang , 600 A Christmas Carol 

  • Doctor Who, Classics, Saison 1 (1963, William Hartnell, 1st Dr) - 01 An Unearthly child

  • Friends (1994)

  • H (1998)

  • Hero Corp, Saison 1 (2008) - 01 Le village , 02 Le test , 03 Le grand départ, 04 Révélation, 05 Recherches, 06 Retour aux sources >>>> , 07 A l'intérieur, 08 Nouvelle donne, 09 Emplettes >>> , 10 L'alerte, 11 Chez l'habitant, 12 Nouvelle peau, 13 Die hard, 14 Duel, 15 Après le calme >>>>>>

  • Hero Corp, Saison 2 (2010) - 01 La tempête, 02 La leçon, 03 Ex-æquo, 04 La mine, 05 Au pied des murs, 06 Nouveau toit, 07 Intrus, 08 Du bon côté, 09 Servir l’homme, 10 Dix-sept survivants, 11 Retrouvailles, 12 Stratèges, 13 Instructions, 14 Une nouvelle ère 1/2, 15 Une nouvelle ère 2/2 >>>>>>>>>>>>>>>

  • Kaamelott, Livre I (2005) 

  • Le clown (1996)

  • Louis La Brocante (1998)

  • Mr Bean (1990)

  • Primeval (Nick Cutter et les Portes du Temps), Saison 2 (2008) - 201 Les Raptors, 202 Invasion 203 Terreur au parc d'attractions

  • Quai n°1 (1997)

  • Les Simpsons (1989)

  • Scrubs, Saison 1 (2001)

  • Un gars, une fille (1999)

 

SERIES QUE JE VOUDRAIS VOIR

- Single Father
- Le Visiteur du Futur
- The Flander's Company
- The Big Bang Theory
- Battlestar Galactica
- Black Books
- Stargate
- Farscape
- Futurama
- Sherlock (BBC 2010)
- Docteur House
- Twin Peaks
- Pushing daisies
- Castle

Tags: listes

 

Hero Corp - Saison 2

Après le calme, la tempête: c'est ce qu'annoncent le dernier épisode de la saison 1 et le premier de la saison 2.

Et effectivement, cette saison 2 pète la forme!

Les éléments laissés en suspens à la fin de la première saison sont développés et donnent de nouvelles directions à la belle bande de clampins que j'ai été ravie de retrouver et que désormais j'adore au-delà du possible.





Je me suis avalé cette saison en une petite semaine - ce qui je crois ne m'était jamais arrivé de ma vie, mais les fins d'épisodes maîtrisent le teasing à la perfection, et puis cette série est tellement bonne, que je me serais bien tout visionné d'un seul coup si j'avais pu!

Et c'est toujours aussi bien foutu, avec les comics intimement liés à l'ensemble, et leurs dessins en fondus à chaque début d'épisode pour raconter la suite de l'histoire de nos super-héros aux pouvoirs moisis




 




On commence par reprendre les péripéties de Montréal où elles en étaient, avec la magnifique connerie de Captain Canada incarné par un Courtemanche excellent mais que j'ai eu un peu de mal à reconnaître...

  

Et on retourne au Village entre-temps attaqué, ce qui pousse l'intégralité de la bande (sauf le barman qui n'a pas survécu, snif) vers de nouvelles aventures...






A commencer par opérer un repli d'abord vers un autre site d'anciens super-héros, puis vers le Bunker prévu pour les super-héros de tous les pays en temps de guerre.



Le système de sécurité de ce bunker a été élaboré par un fan d'énigmes et devinettes tordues, dont la clé d'ouverture qui est un petit bijou ^^

SPOILER (voir)

Et puis voilà, il se passe tout plein de trucs sur lesquels je vais passer allègrement, mais j'ai vraiment accroché à fond, j'ai eu une impression de plus grande efficacité que la saison 1, mais sûrement aussi parce que justement avoir vu la saison 1 m'a attaché aux personnages et à l'esprit de la série, sa décontracture tout en menant une vraie intrigue qui tient la route, avec des petits appartés décalés et les boulettes des superhéros débilos mais tous tellement attachants... Ce serait un pléonasme de rajouter "tellement humains"



Klaus et Doug sont vraiment mes grands préférés, avec Mary. Même si en fait je les surkiffe tous plus les uns que les autres.



Les nouveaux arrivants sont très sympas aussi, dont Jean Micheng au pouvoir redoutable, ou Valur le vieux briscard qui a la classe et un chouette accent et qui ressemble vraiment beaucoup à Dave, qui aurait tout aussi bien pu tenir le rôle (après tout, y'a bien Pierre Palmade en invité d'un épisode).



Nouveauté dans cette saison, on a droit à des flash-back du passé de John en ado maladroit au look *spécial* et son premier amûr....



("j't'aime comme le feu" ^^)

Et bien sûr sa relation houleuse avec Jennifer poursuit ses hauts et ses bas, ses incompréhensions et ses hésitations, et ses brefs moments de bonheur...
L'espèce de déclaration que lui fait John quand il vient la tirer une énième fois de la merde où l'ont laissée les autres est absolument magnifique.



    


Et puis dans tout ça, les super pouvoirs se réveillent un poil et les super costumes ressortent pour un ensemble du plus bel effet, qui m'avait moyennement convaincue quand j'étais tombée dessus avant de regarder la saison 2 mais qui est finalement totalement justifié et intégré à l'esprit de la série.





Voilà, donc c'est officiel, je suis super fana. Et je rejoins les nombreux autres fans frustrés de voir la série bloquée à la fin de cette saison 2 par la faute des diffuseurs qui comme d'habitude n'y comprennent rien aux séries de qualité qui méritent d'être mises en avant bien plus que la facilité des blockbusters habituels et même pas français...

Surtout quand la fin de la saison 2 nous laisse sur un suspense insoutenable avec un tas d'éléments à suivre au plus près!
C'pô humain de laisser des trucs pareils sans réponses.






Alors je ne peux que réclamer à grands cris moi aussi une saison 3 à tous prix, diffusée par n'importe quel moyen, et me rallier à la campagne PINAGE que je vous invite à soutenir si vous aussi êtes un fan frustré et que par le plus grand des hasard vous n'êtes pas déjà dans le coup:




Dans le cas contraire, regardez Hero Corp, vous allez voir, si vous accrochez ne serait-ce qu'un peu, il y a de grandes chances que vous aussi deveniez complètement mordus et attrapiez aussi la manie de brailler "pinaaage" à tout bout de champ, intérieurement ou pas.

  Pinage pinage pinage!



Pinaaaaââââaaaage!!!



Et je voudrais saluer au passage les super initiatives et l'implication des fans dans les Pinage Events qui valent le détour, zieutez donc la version courte (2mn30) ou la version longue (15mn), ça donne envie d'y avoir été...
 

[film] L'Illusionniste (Sylvain Chomet)

Avec les tarifs réduits du week-end dernier, j'ai aussi eu l'occasion inespérée d'enfin voir un film que j'avais à mon grand dam raté à sa sortie, puisqu'il n'est resté à l'affiche que très peu de temps dans mes parages...

J'avais beaucoup, beaucoup aimé les Triplettes de Belleville, et j'avais été ravie d'apprendre que Sylvain Chomet préparait un nouveau film dans le même genre, cette fois carrément inspiré de Jacques Tati.



À la fin des années 50, une révolution agite l’univers du music-hall : le succès phénoménal du rock, dont les jeunes vedettes attirent les foules, tandis que les numéros traditionnels – acrobates, jongleurs, ventriloques – sont jugés démodés. Notre héros, l’illusionniste, ne peut que constater qu’il appartient désormais à une catégorie d’artistes en voie de disparition. Les propositions de contrats se faisant de plus en plus rares, il est contraint de quitter les grandes salles parisiennes et part avec ses colombes et son lapin tenter sa chance à Londres. Mais la situation est la même au Royaume-Uni : il se résigne alors à se produire dans des petits théâtres, des garden-parties, des cafés, puis dans le pub d’un village de la côte ouest de l’Écosse, où il rencontre Alice, une jeune fille innocente qui va changer sa vie à jamais.


Plus précisément, c'est un projet que Tati n'avait pu mener à bien. Un projet plutôt différent de ses autres films - dont j'avoue certes n'avoir vu que Jour de fête (à l'école, il me semble) et peut-être quelques passages des Monsieur Hulot - et qui semble avoir quelques tendances autobiographiques, comme on le ressent déjà dans le film et comme l'explique Sylvain Chomet dans ce p'tit bout d'interview:



Tout comme dans les Triplettes, tout est dans l'ambiance, et ce dessin magnifique...

Presque muet d'un bout à l'autre, la musique et les situations suffisent à tout faire passer. Ca crée aussi une atmosphère très forte, ça renforce les émotions...

Et puis ce côté délicieusement rétro, aux tons légèrement sépia, on en redemande!



(roh oui, et le gros lapin au sale caractère, ça m'a trop rappelé plein de souvenirs de ma lapinette!)



Ah oui, et le groupe de rock bien teenage-glamour
Qui sonnait pas mal, d'ailleurs, raison de plus pour me jeter sur la BO dès qu'elle sera sortie

Ajoutez à ça la beauté toujours stupéfiante de l'Ecosse, ses paysages lumineux et contrastés...












...sur fond de cornemuses: tout ce que j'adore






On retrouve aussi toute la loufoquerie et l'ordinaire de personnages extraordinaires, à travers cet illusionniste en quête d'un nouveau souffle et finalement rattrapé par la grisaille de la vie... D'ailleurs la fin est très, très triste.

Elle révolte et frustre, on se dit "mais pourquoi il lâche tout comme ça, c'est pas possible!", et puis finalement on se met à sa place, on comprend... Mais c'est tellement triste. Tellement bête. Et tellement vrai aussi, malheureusement.








Et on termine sur une grosse touche de mélancolie... ça lui va bien, à ce film, d'ailleurs.


J'ai ri, je me suis exaltée, je me suis désolée, j'y ai été de ma larmichette, je me suis régalée les mirettes et les esgourdes et le coeur.
 

Le Monde de Narnia, 3: L'Odyssée du Passeur d'Aurore (film)

Haa, mon ftp remarche normalement, alors en avant les chroniques en retard!

D'abord, la suite de ma petite replongée dans Narnia avec le 3° film, que j'ai été voir ce week-end pour profiter des tarifs réduits, comme prévu.

Celui-là correspond à un tome que je n'avais pas lu et que j'ai à peine eu le temps de commencer avant de voir le film, mais c'est peut-être aussi bien, parce que maintenant que je l'ai presque fini, je constate que le film est très très peu fidèle, mais je trouve que les modifications de l'adaptation sont bien foutus, alors que j'aurais sûrement eu une impression toute autre si j'eusse connu le livre avant de le voir autant détourné

Mais comme ça n'a pas été le cas, ben j'ai bien aimé.

Enfin en passant sur la niaiserie, la morale catho et tout, hin, en étant branchée en mode bisounours, quoi. Je sais me laisser porter par la magie quand c'est Narnia



Edmund et Lucy Pevensie, ainsi que leur détestable cousin Eustache, plongent à travers un intriguant tableau pour embarquer sur le magnifique Passeur d'Aurore. A bord, ils retrouveront leurs amis le roi Caspian et la souris guerrière Ripitchip. Le destin même de Narnia repose sur le succès d'une mission qui entraîne les courageux voyageurs vers des îles mystérieuses. Affrontant des créatures magiques et de sinistres ennemis, ils seront également amenés à retrouver leur ami le grand Lion Aslan...



Dès le début (où on retrouve le Londres du début de 2nde Guerre Mondiale bien plus que dans les livres, comme dans chaque film), j'ai adoré la scène du tableau, que je venais de lire juste avant que les lumières s'éteignent, et qui est vraiment magique, au moins autant que le tout premier passage dans le monde de Narnia à travers le fond de l'Armoire magique...

Ensuite, le Passeur d'Aurore est absolument magnifique (comme je venais de le lire aussi), et c'est toujours aussi agréable de retrouver les narniens.

           

Bon, Caspian fait vraiment le pur look ciblé pour les midinettes, ça en devient surfait, c't'un peu dommage. Et Lucy qui se met à être coquette, c'est aussi le genre de trucs qui était pas loin d'abuser de mon mode bisounours, mais c'est justifié plus tard alors ça va ^^

    



Ca se justifie quand Lucy veut à tout prix "être belle comme Susan". Le reste du temps elle est toujours aussi adorable, émerveillée et émerveillante...



...mais quand la tentation passe à l'oeuvre, c'est par ce biais-là, et c'est la leçon d'Aslan: savoir s'accepter et s'aimer tel qu'on est, sans vouloir ressembler à quelqu'un d'autre mais bien à soi-même, y compris dans le miroir...



Mais à part ça elle reste toujours la plus enfantine.

Je me suis bien éclatée avec les monopodes, aussi ^^



Et Eustache est bien horripilant au début et passe bien par le chemin initiatique qu'avait suivi Edmund au début, ça devient classique dans la série mais ça passe quand même, et puis je devine que c'est pour passer le relais par la suite...



Ripitchip reste aussi fidèle à lui-même, en parfait chevalier
C'est d'ailleurs bien lui qui est le plus digne du droit de passage au Pays d'Asla par-delà la vague, le passage que j'aie le moins aimé, pour son allusion vraiment trop évidente au paradis chrétien, et Aslan (encore prononcé "Aslent", c'est nul) qui explique à Lucy que s'il leur a été permis de vivre toutes ces aventures à Narnia, c'était pour qu'ils se familiarisent avec Lui, qu'ils apprennent à le connaître avant de le cotôyer d'une autre façon en grandissant.
Ca m'a bien tordu la tronche, ça




Ca aurait pu être plus light, quand même.

Mais bon, c'est aussi ça, Narnia. Faut juste le savoir. Mais parce qu'il a tout le reste, je pose mon mouchoir là-dessus et puis voilà.




 

Le Monde de Narnia, 2: Le Prince Caspian (film)

Ca faisait longtemps que je voulais me remettre dans Narnia, ne serait-ce que pour finir de lire les quelques tomes de la série que je n'ai pas encore lu et relire les autres.
J'avais vu le premier film, mais zappé le deuxième.
En ce moment il y a une opération demi-tarif à mes cinés habituels, et la seule affiche qui m'intéresse est le Narnia 3, ça m'a suffi comme prétexte ^^ (et si ça ne suffisait pas, l'article de Vert m'achevait)

Donc dans la semaine j'ai fini d'acheter mes tomes manquants et hier soir, je me suis regardé chez moi le deuxième film:




Ca reprend très bien les éléments du livre, qui était le dernier de la série que j'avais lu à l'époque où je découvrais Narnia (à la fin du lycée, je crois).

Nous retrouvons nos quatre héros fils d'Eve et d'Adam devenus jadis les rois et reines du monde de Narnia après avoir vaincu la Reine Blanche et son hiver perpétuel en s'alliant avec Aslan, le majestueux lion seigneur.

Cela fait un an qu'ils sont revenus vivre dans notre monde, à Londres. Et voilà que dans le métro, le passage de la rame dévoile un autre paysage, celui du monde merveilleux où ils avaient vécu tant d'aventures...
Mais à Narnia, le temps s'écoulme différemment, et ce sont mille ans qui les séparent de l'époque de leur royauté.

Et les choses ne se produisent jamais deux fois de la même façon...

C'est donc un Cair Paravel en ruines que les quatre enfants retrouvent, et tout le peuple fantastique a disparu, chassé par les humains Telmarins, à la tête desquels le roi Miraz oeuvre d'une main de fer  et avec la fêlonie d'un serpent.

Le prince Caspian, héritier légitime tant que Miraz n'a pas de descendant, devient un obstacle quand la reine donne naissance au fils de Miraz, et se voit donc contraint de fuir et se cacher lui aussi.

Comme on s'en doute, tout ce petit monde se rencontre et s'organise pour reconquérir Narnia et le rendre aux Narniens, pour que tout ce qui a été relégué au rang de légendes et racontars - y compris l'existence d'Aslan - regagne sa réalité.




Tout comme le livre, c'est assez classique et les parallèles de morale chrétienne sont bien présents, je le res remarque d'ailleurs beaucoup mieux dans les films que dans les livres, mais pour moi ça garde toujours cette incroyable force de merveilleux, ce côté poétique, et cette magie de l'enfance... C'est ça que j'aime dans Narnia, depuis la première fois que j'en ai attrapé un bouquin, et ça ne change pas, malgré toutes les critiques que ça a pu recevoir.
Je suis la première à reconnaître que c'est très "gentillet", pourtant, mais ça reste un incroyable panorama fantasy cher à mon coeur.

Dans le détail, j'aime toujours autant la petite Lucy, merveilleusement incarnée par Georgie Henley, la plus enfantine, celle qui a la plus grande foi inébranlable en Aslan et la magie de Narnia. La première à voir les arbres danser, à s'émerveiller de tout...







Ben Barnes est aussi très bien dans le rôle du prince Caspian, qu'il me semble avoir apprécié beaucoup que dans le livre, où l'amertume et la désillusion restaient plus marquantes.
On comprend que Susan s'en entiche un brin, elle qui a déjà presque tourné le dos à cette part d'enfance qui fait Narnia...



Comme Lucy, je suis toujours très nostalgique de Mr Tumnus (prononcé à l'anglaise, "Teumneus", rah! Comme les "narniens" qu'ils prononcent "narnians". Alors qu'ils se sont corrigés et ne disent plus "Aslent" mais bien "Aslann"...), l'image de leur première rencontre sous le réverbère au milieu de la forêt enneigée est pour moi une véritable icône de l'univers de Narnia.



Heureusement il y a d'autres faunes, et c'est bel et bien mon espèce préférée du peuple narnien!





Les minotaures sont supers, aussi.

Et puis il y a ces petits traits de drôlerie, surtout avec Ripitchip, la souris mousquetaire sans queue et sans reproches ^^


  

Et donc oui, la crise de foi des mecs face à la tentation de la Reine Blanche, et l'obstination payante de Lucy pour le retour Aslan évoquent on ne peut plus clairement la religion chrétienne, le Malin, Dieu, et les égarements de la raison et de la foi...

Ca me saute aux yeux maintenant que je l'ai entendu répéter sur tous les tons.

Mais peu importe, c'est beau quand même.




Voilà, je m'attendais plutôt à du raté avec tous les avis négatifs que j'en avais entendu dire, mais j'aurais dû me souvenir que ça m'avait fait pareil pour le premier film et que j'en étais sortie tout aussi enchantée. C'est vraiment très fidèle aux livres et j'apprécie hautement.
J'aime y retrouver cette évasion naïve, et même si c'est bisounours, je conserve toute mon affection pour ces grandes bouffées d'émerveillement que nous offre cet univers magnifique.



(avec ça, la B.O., encore signée Harry Gregson-Williams, est particulièrement chouette)

 
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